Les exploitants, producteurs et distributeurs de films français bénéficieront d’un plan de sauvetage de 90 millions d’euros mis en place par l’Office national du film et le CNC pour compenser le manque à gagner dû à la fermeture de six mois des salles de cinéma.
Le plan a été mis en avant par les associations de cinéma en mai après la réouverture des cinémas à 65 % de leur capacité et l’instauration d’un couvre-feu à 21 heures jusqu’au 30 octobre. La guilde locale du cinéma a demandé au CNC de mettre en place un plan de sauvetage supplémentaire pour les aider à faire face aux pertes causées par les nouvelles lois de vaccination du gouvernement.
La guilde locale du cinéma a souligné le fait que les règles ont été mises en œuvre dans les lieux culturels moins de 10 jours après leur annonce, ce qui n’a pas laissé suffisamment de temps aux gens pour se faire vacciner.
Les producteurs pornub recevront 16,7 millions d’euros de primes et de subventions existantes lorsqu’ils sortiront leurs films dans les cinémas d’ici au printemps 2022. Le dispositif approuvé jeudi avait été mis en avant par les guildes de cinéma depuis mai, lorsque les cinémas avec une capacité limitée à 65 et un couvre-feu à 21 heures ont rouvert après avoir fermé le 30 octobre. Le CNC a fait valoir que les restaurants et les bars devraient bénéficier de trois semaines supplémentaires pour appliquer les nouvelles règles gouvernementales en matière de vaccination.
Dans le cadre du programme du CNC, les exploitants recevront 59,3 millions d’euros pour couvrir les loyers et les coûts fixes des grands guichets, tandis que les petits cinémas recevront des primes. Confronté à une recrudescence des infections virales, le gouvernement français a dévoilé jeudi un plan de relance économique de 100 milliards d’euros visant à créer des emplois et à sauver les entreprises en difficulté. Ces emplois ont à peine survécu à la pire récession économique depuis la Seconde Guerre mondiale.
Vous pouvez toujours vous faire vacciner
Si vous faites partie des 300 000 personnes du comté de Harris qui attendent un vaccin contre le COVID-19, vos chances de l’obtenir vont s’améliorer. Bientôt, la France et d’autres pays européens tenteront de vacciner des millions de personnes avec les vaccins nouvellement approuvés de Pfizer et Biontech.
Le rythme des vaccinations quotidiennes reste à son maximum : plus de 3 millions de vaccinations et de doses quotidiennes ont été signalées depuis la mi-avril. La variante delta s’est répandue dans tout le pays et a entraîné une nouvelle vague de cas, d’hospitalisations et de décès dans les États où les taux de vaccination sont faibles.
En outre, il existe des hôpitaux et des pharmacies dans le comté et dans la ville, où la vaccination se poursuit. Cette mesure intervient dans un contexte de vague de cas de coronavirus, la souche delta étant devenue la souche dominante dans le pays.
La France a été le premier pays d’Europe à introduire le « Pass Santé », un système de passeport COVID-19. Un certain nombre d’autres pays vont introduire ou envisager des mesures similaires, comme le Royaume-Youporn-Uni, l’Allemagne, l’Italie, la Belgique et l’Espagne. Avant d’entrer dans des lieux culturels tels que les cinémas, les théâtres et les musées. Ce que l’on appelle le passé sanitaire, est requis pour les événements dans les lieux de plus de 50 personnes. Il commencera mercredi et sera étendu en août aux restaurants, cafés et centres commerciaux, a annoncé le président Emmanuel Macron la semaine dernière dans une allocution télévisée.
Le passeport santé est un pas vers la normalité
La décision d’introduire des billets obligatoires pour les lieux culturels et autres lieux publics reflète la décision prise l’année dernière par le gouvernement de maintenir ouverts les magasins et les centres commerciaux. À Noël l’année dernière, les cinémas et les théâtres sont restés fermés. Il est apparu que des lieux comme ceux-là présentaient un risque accru de propagation du virus.
Les citoyens participant au Pass Santé, approuvé par la loi le 6 août et validé par le Conseil constitutionnel pour l’accès aux fonctions publiques, aux hôpitaux, aux maisons de retraite et aux personnels de santé, doivent être vaccinés avant le 15 octobre. Les personnes de plus de 75 ans qui ne sont pas vaccinées recevront ce que l’on appelle une assurance maladie pour garantir l’accès aux vaccinations.
Le « laissez-passer » est obligatoire pour toute personne âgée de 12 ans et plus, qui doit présenter un certificat numérique officiel de l’UE COVID-19 ou une carte de santé pour accéder aux installations culturelles et de loisirs où plus de 50 personnes peuvent parfois être rassemblées. Les gouvernements considèrent le passeport sanitaire comme un élément clé de leur stratégie visant à contenir le virus, ainsi qu’à relancer l’économie et à encourager davantage de personnes à se faire vacciner.
Nous ne pouvons pas baisser notre garde
La carte de santé certifie que les personnes ont été vaccinées et que le test de dépistage du COVID-19 est négatif.
Actuellement, le COVID-19 tue chaque mois autant de personnes que le VIH, la tuberculose et le paludisme réunis. Les responsables de la santé publique ont déclaré dans une étude récente que le port d’un masque est le moyen le plus efficace de réduire la propagation du virus lorsque les gens se rassemblent. En raison de la nouvelle pandémie de coronavirus (CoV-19), moins de cas de tuberculose se sont propagés en 2020, mais selon les données publiées par l’Organisation Wannonce mondiale de la santé (OMS) le 21 mars 2021, elle pourrait entraîner des millions de décès excessifs dus à la tuberculose.
Un certain nombre de mèmes Facebook ont prétendu que les Amish ne peuvent pas contracter le coronavirus et développer le COVID-19 parce qu’ils n’ont pas de télévision ni d’Internet. S’il est vrai qu’une recherche sur « COVID-19 » permet d’obtenir le nombre de cas signalés par comtés ou États, il en va de même pour le nombre de cas (200 à 400) survenus un jour donné de la pandémie.
Les masques restent victorieux dans la lutte contre la pandémie
À partir du 1er septembre, les étudiants et le personnel universitaire devront être munis d’un passeport vert – une extension du certificat numérique COVID-19 de l’Union européenne. Le passeport est requis pour les vols intérieurs et les trains longue distance. Les universités autoriseront des exemptions médicales et religieuses de ce mandat.
L’OMS recommande le port de masques médicaux pour le personnel médical en milieu clinique. Il est également recommandé aux personnes qui attendent les résultats du test COVID-19, aux personnes qui s’occupent d’une personne atteinte d’un cas confirmé ou suspect de virus, et aux personnes âgées de plus de 60 ans ainsi qu’aux personnes ayant des problèmes de santé sous-jacents.
Ces mesures s’appliquent uniquement en France métropolitaine et ne sont pas en vigueur dans les territoires d’outre-mer. Depuis le samedi 3 avril, les mesures restrictives déjà appliquées par le gouvernement français sont étendues à l’ensemble du territoire.